Saint Jean de Luz, première exposition

Mars 1921 : exposition à la prestigieuse Galerie Allard

Charles ATAMIAN veut absolument se constituer un stock de toiles pour une « vraie exposition » qui lui serait entièrement consacrée, dans une grande Galerie…
Après les fiançailles de sa fille Fernande, il décide de descendre de nouveau vers le sud, à Saint-Jean de Luz, cette fois. Il y part seul, au début de l’été de 1920. Pendant un mois et demi, il y travaille d’arrache-pied. Il peint beaucoup, à St-Jean de Luz et dans les environs, Ciboure, Sare, Socoa…
Charles peint aussi le port, les bateaux et quelques scènes animées, la fête à Sarre de jour et de nuit:

Pour faire bon poids, Charles, de retour du sud-ouest, va peindre quelques toiles non loin de Paris, sur les bords de la Seine, à Villennes sur Seine.
Voilà donc une réserve suffisante pour présenter une belle exposition personnelle à la Galerie Allard.
Que rapporte cette exposition ?
Des soucis et peu de ventes, en dépit de la publicité importante qui en a été faite. L’État achète « L’ombrelle rouge » pour la légation de France à Lima, payée au tiers de son prix, l’artiste l’a noté sur le document de la vente. Aucune autre trace de vente chez Allard ne sera retrouvée. Il ne retournera pas dans le Sud-Ouest.

Et pourtant deux « sud-ouest » ont été vendus, l’une à un couple d’exilé basque au Mexique en voyage de noce à Paris, l’autre à un basque parisien.

En avril 1921, quelques jours après la clôture de cette exposition, Charles expose deux toiles au Salon de la Nationale.

1920 Saint Jean de Luz, premières expositions

Charles veut veut absolument se constituer un stock de toiles pour une « vraie » exposition qui lui serait entièrement consacrée, dans un galerie célèbre.Après les fiançailles de sa fille Fernande, il décide de descendre de nouveau vers le sud mais, pour faire différent, il va dans le sud-ouest  à Saint Jean de Luz cette fois.
Il y part seul, au début de l’été 1920. Pendant un mois et demi, il y travaille d’arrache-pied, à Saint Jean de Luz et dans les environs, Ciboure, Sare, Socoa. Il peint le port, les bateaux et quelques scènes animées à Sare notamment.
Pour faire bon poids, Charles, de retour du sud-ouest, va peindre quelques toiles sur les bords de Seine à Villennes sur Seine.
Que rapporte cette exposition ?

Peu de ventes, en dépit de la publicité importante qui à été faite. L’État achète « l’ombrelle rouge » peinte à Ault-Onival, au tiers de son prix, l’artiste l’a noté sur l’acte de vente. Aucune autre trace de vente ne sera retrouvée et pourtant  deux « sud-ouest » ont été vendus, l’un à un couple d’exilé basque au Mexique en voyage de noces à Paris, l’autre à un basque parisien.
Quelques jours après la clôture de cette exposition, Charles expose deux toiles au Salon de la Nationale.

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